L’enquête a été réalisée au cours de sept sessions de formation et comprenait trois questions sur la réalisation d’obturations composites. 577 médecins-dentistes ont participé à cette enquête. La raison présumée la plus fréquemment invoquée pour expliquer l’échec d’une obturation composite a été le facteur médecin-dentiste (70,7%), suivi par le facteur indication (32,2%), matériau (8,5%) et patient (8,1%). Interrogés sur les erreurs vraisemblablement les plus courantes, les participants ont indiqué le séchage insuffisant (67,9%), les erreurs d’application de la technique adhésive (41,8%), photopolymérisation (31,2%) et technique de stratification (27,6%). Au cours de la réalisation de leurs obturations composites, les médecins-dentistes ont accordé une importance particulière au séchage (60,8%), à la mise en œuvre soigneuse de la technique adhésive (37,3%), de la technique de stratification (32,6%) et de la photopolymérisation (28,8%). Du point de vue des médecins-dentistes interrogés, le praticien traitant est considéré comme ayant la plus grande influence sur la qualité et la durabilité des obturations composites réalisées en technique adhésive. Le séchage a été la source d’erreur présumée la plus fréquemment mentionnée, mais aussi l’étape sur laquelle l’accent a été mis le plus souvent.

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